« ÉLOGE DE PIERRES » sculptures céramiques, 2018 - 2021
Ces productions céramiques ont été inspirées par la série « Couleurs des champs », des dessins au pastel. Le dessin est, en somme, l’assemblage de modules en 2D. C’est cette logique combinatoire que j’ai transposée en céramique, il y a déjà trois ans. Je produis des formes-signes, synthétiques, cubiques pour l’essentiel. Les arêtes du volume ne sont rien d’autres que les contours dans la forme dessinée. Les éléments sont autonomes et les pièces démontables. La dimension finale de la pièce provient de l’accumulation. Je n’imaginais pas être pareillement happée par cette nouvelle matière à laquelle je m’adonne avec passion. J’ai délibérément restreint les paramètres de mon vocabulaire (quelques terres variées – grès noirs et blancs, terres chamottées ou colorées, quelques engobes patinés...), par souci d’aller à la simplicité et au dénuement.
« ÉLOGE DE PIERRES » sculptures céramiques, 2018 - 2021
Ces productions céramiques ont été inspirées par la série « Couleurs des champs », des dessins au pastel. Le dessin est, en somme, l’assemblage de modules en 2D. C’est cette logique combinatoire que j’ai transposée en céramique, il y a déjà trois ans. Je produis des formes-signes, synthétiques, cubiques pour l’essentiel. Les arêtes du volume ne sont rien d’autres que les contours dans la forme dessinée. Les éléments sont autonomes et les pièces démontables. La dimension finale de la pièce provient de l’accumulation. Je n’imaginais pas être pareillement happée par cette nouvelle matière à laquelle je m’adonne avec passion. J’ai délibérément restreint les paramètres de mon vocabulaire (quelques terres variées – grès noirs et blancs, terres chamottées ou colorées, quelques engobes patinés...), par souci d’aller à la simplicité et au dénuement.
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Ces productions céramiques ont été inspirées par la série « Couleurs des champs », des dessins au pastel. Le dessin est, en somme, l’assemblage de modules en 2D. C’est cette logique combinatoire que j’ai transposée en céramique, il y a déjà trois ans. Je produis des formes-signes, synthétiques, cubiques pour l’essentiel. Les arêtes du volume ne sont rien d’autres que les contours dans la forme dessinée. Les éléments sont autonomes et les pièces démontables. La dimension finale de la pièce provient de l’accumulation. Je n’imaginais pas être pareillement happée par cette nouvelle matière à laquelle je m’adonne avec passion. J’ai délibérément restreint les paramètres de mon vocabulaire (quelques terres variées – grès noirs et blancs, terres chamottées ou colorées, quelques engobes patinés...), par souci d’aller à la simplicité et au dénuement.
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