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  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

     

     

     Sérigraphie, 50 cm x 50 cm

  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

     

     

    Sérigraphie, 50 cm x 50 cm

  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

     

     

    Sérigraphie, 50 cm x 50 cm

  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

     

     

    Impression numérique, encre ultrachrome, 45 cm x 45 cm

  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

     

     

    Impression numérique, encre ultrachrome, 45 cm x 45 cm

  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

     

     

    Impression numérique, encre ultrachrome, 45 cm x 45 cm

  • Le pommier de Luz, 2012

    Luz-Saint-Sauveur, un jour d'août où je restais coincée par la pluie, forcée à demeurer à l'intérieur, j'ai dessiné le pommier qui formait écran devant ma fenêtre. Il pleuvait, la pluie clapotait sur les feuilles, toutes ces feuilles ... cachant les branches et la structure de l'arbre qu'il fallait deviner. Je me mis à dessiner, bien décidée à restituer cette multitude de feuilles. Ce geste répétitif ne suffisait pas, et m'obligeait à faire des choix, j'ai senti ma main comme simple exécutrice, la pensée la guidait. Mais que fallait-il restituer ? Laisser des zones blanches ? Le tronc et les branches pouvaient-ils exister par le vide ? J'aurais aimé que la pluie perdure au moins 15 jours afin que chaque jour je puisse renouveler cette réflexion. Il plut 2 jours. J'exécutais 2 dessins à partir desquels je fis une série sérigraphiée, puis une autre par infographie.

     

     

    Impression numérique, encre ultrachrome, 45 cm x 45 cm


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